Sam Quealy est bien la princesse qu’elle pense être et s’apprête à régner sur une techno-pop qu’elle remodèle au gré des performances. Chez elle, le gabber et l’hyperpop se croisent et sont la toile de fond d’hymnes d’empowerment, plein de bad bitc* vibes.

À 18 ans, elle quitte l’Australie qui l’a vue grandir et commence à danser. Elle rejoint Hong-Kong, puis les Philippines et les Etats-Unis. Elle débarque enfin à Paris pour un spectacle de cabaret et tombe amoureuse de la ville. Proche du groupe La Femme, elle est membre de la prestigieuse house de voguing Comme des garçons et s’est taillée une réputation de bête de scène sur laquelle elle délivre des performances féroces où le corps a tout autant sa place que l’instrument. En 2023, elle a sorti son premier album, Blonde Venus, qui la consacre en Madonna infernale ou en un update punk de Marilyn. Un show immanquable, qui fera transpirer le Magic !

L’australienne Sam Quealy est bien la princesse qu’elle pense être et s’apprête à régner sur une techno-pop qu’elle remodèle au gré des performances. Basée en France depuis quelques années, elle s’est taillée une réputation de bête de scène et porte des hymnes d’empowerment, plein de bad bitc* vibes à la croisée du gabber et de l’hyperpop. Un show immanquable, qui fera transpirer le Magic !