GABI HARTMANN · KENNY BARRON

Sam 14 oct
20H30
Opéra
1ERE CAT : 40€
2EME CAT : 35€
3EME CAT: 30€
SP : +5€
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GABI HARTMANN · 21H50
Jazz Folk | France

On pourra discuter à l’infini de l’endroit où la voix de Gabi Hartmann nous transporte : un bar jazz en sous-sol, une plage tropicale au crépuscule, une terrasse dans une pente de Lisbonne, le fond d’une brasserie parisienne par une nuit d’hiver… On ferme les yeux et passent, enlacées, l’ombre d’une légende du jazz, d’une diva de la bossa nova, d’une grande dame en noir de la chanson française ou portugaise, quelque part au carrefour du chic exquis et de la mélancolie vertigineuse, de la douceur consolante et du spleen partagé. Depuis son passage en 2022 à NJP, la jeune autrice-compositrice, chanteuse et guitariste a pris son envol sous l’aile du producteur Jesse Harris (mentor de Norah Jones, Melody Gardot ou Madeleine Peyroux) se classant en tête des charts de jazz début 2023. Elle revient donc à NJP en tête d’affiche à l’Opéra, rien que ça, et cette fois en formule sextet !

Gabi Hartmann – voix, guitare
Florian Robin – piano
Elaine Beaumont – contrebasse
Bruno Marmey – batterie, percussions
Abdoulauye Kouyate – guitare
Robby Marshall – saxophone, clarinette

A l’écoute de Gabi, on ferme les yeux et passent, enlacées, l’ombre d’une légende du jazz, d’une diva de la bossa nova ou d’une grande dame de la chanson française. Après un premier passage en 2022, elle a pris son envol en tête des charts et revient à NJP en tête d’affiche à l’Opéra !

Gabi Hartmann – voix, guitare
Florian Robin – piano
Elaine Beaumont – contrebasse
Bruno Marmey – batterie, percussions
Abdoulauye Kouyate – guitare
Robby Marshall – saxophone, clarinette

KENNY BARRON · 20H30
Jazz | États-Unis

Icône du jazz, âgé de 79ans, Kenny Barron revient à NJP avec “The Source” en solo, probablement le plus bel autoportrait qui soit, reflétant les traits saillants de sa singularité musicale. S’il n’a jamais été que lui-même, tant en leader que comme sideman, les échappées en solitaire de Kenny Barron ont toujours tenu lieu de démonstration éloquente de cette singularisation que finalement peu de pianistes regardent droit dans les yeux, avec courage et confiance. Dans la lignée d’Art Tatum, d’Oscar Peterson et de Bud Powell, il incarne la grande tradition américaine du piano jazz. Là où les pairs de sa génération (Keith Jarrett, Chick Corea, Herbie Hancock) ont pris le contrepied de leurs ainés, explorant de nouvelles voies, il s’est érigé comme le dernier des classiques. Maniant avec une maîtrise désarmante tous les styles, il les sublime pour mieux les réinventer, du stride au bop et aux techniques plus contemporaines. De tout cela, il conserve un swing unique et magistral.
Nous avions eu le plaisir de l’accueillir en trio il y a quelques années, c’est aujourd’hui en solo qu’il nous revient. Son swing, parfois nonchalant, toujours diabolique, illustre tout ce que le jazz contient de mélodie, de rythme, de vie et de supplément d’âme. Le jazz américain s’est honoré d’un Duc (Duke Ellington), d’un Comte (Count Basie), d’un Président (Lester Young), c’est aujourd’hui un Baron que nous accueillerons à l’Opéra pour fêter les 50 ans de NJP.

Kenny Barron – piano

Icône du jazz, âgé de 79ans, Kenny Barron revient à NJP avec “The Source” en solo, probablement le plus bel autoportrait qui soit, reflétant les traits saillants de sa singularité musicale. Nous avions eu le plaisir de l’accueillir en trio il y a quelques années, c’est aujourd’hui en solo qu’il nous revient, dans le bel écrin de l’Opéra.